
Nos 10 interventions en Conseil de métropole (02 février 2023)
Nous sommes intervenu-es sur
Plan Climat Air Énergie Territorial Solidaire
Gratuité des transports en commun
Prévention des Déchets Ménagers
Renouvellement urbain de La Paillade
Nous sommes intervenu-es sur
Plan Climat Air Énergie Territorial Solidaire
Gratuité des transports en commun
Prévention des Déchets Ménagers
Renouvellement urbain de La Paillade
La transformation du lieu s’inscrit dans le plan global de rénovation du quartier de la Paillade, porté par la Métropole et encouragé par l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru).
« C’est un quartier central, stratégique, à la jonction des Hauts-de-Massanne, de Malbosc et de la Paillade. Le périmètre va de la résidence Neptune jusqu’au collège les Escholiers d’un côté, du parc de Malbosc jusqu’à la coulée verte de la Mosson de l’autre ». (Coralie Mantion)
Le quartier qui va de la rue Paul Rimbaud à l’avenue du professeur Louis Ravas ne va pas subir la grande métamorphose annoncée à la Mosson. C’est un travail “de dentelle” qui est prévu aux Cévennes, a répété la déléguée à l’aménagement durable du territoire, à l’urbanisme, à la maîtrise foncière et au projet Anru, Coralie Mantion.
Présentation du projet de rénovation urbaine du quartier des Cévennes : Réaménagement de l’espace public, mise en valeur des commerces (Coralie Mantion et Mustapha Laoukiri)
Abonnés Coralie Mantion a posé les bases des futures règles d’urbanisme sur la métropole. Solene Artaud
Publié le 27/02/2021
Coralie Mantion, vice-présidente de la Métropole déléguée à l’Aménagement durable du territoire, à l’Urbanisme et à la Maîtrise foncière, revient sur l’élaboration du futur Plui.
Vous êtes arrivés aux affaires en juillet 2020. Avez-vous procédé à des modifications de la version V0 du Plui initiée sous l’ère Saurel ?
Complètement. Nous avons commencé à travailler en septembre, c’est pour cela qu’il a fallu du temps avant de présenter les orientations. Il fallait mettre en place un dialogue avec les équipes, qui travaillait toujours de la même manière. L’Insee nous dit que la croissance démographique est d’environ 1,2 %, et donc cela représente tant d’habitants, tant de foyers et tant de m2 de surface à urbaniser. Ils faisaient des ZAC et des ZAC, une véritable fuite en avant. On s’étalait sans remettre en question cette politique urbaine.
Qu’avez-vous préconisé ?
Que nous allions fonctionner à l’inverse. Nous partons des ressources de la ville. Par exemple, l’eau est limitée, deux tiers du volume sont importés. Les ressources en alimentation, les terres agricoles. L’idée est de réfléchir à notre capacité à accueillir les gens. Il fallait mettre en place ces nouvelles orientations. Nous allons vers une baisse des zones à urbaniser.
Dans quelles proportions ?
Nous n’avons pas encore les chiffres de logements à construire chaque année. Sous la mandature Saurel, il avait été estimé 1 000 hectares à urbaniser. Nous, ce sera plus que la moitié en moins.
Quel va être le mode opératoire ?
Nous allons faire le tour de chaque commune et analyser toutes les ZAC en cours. Si elles sont trop avancées, nous ne reviendrons pas en arrière. Également la richesse de la biodiversité et des terres agricoles, nous les préserverons. Ce sera du cas par cas. Je dois faire le tour des 31 communes. Les maires savent qu’ils ont un objectif de réduction de l’étalement urbain. Mettre la priorité sur la mutation des territoires déjà bâtis.
Lire la suite sur le site de Midi Libre : https://www.midilibre.fr/2021/02/27/montpellier-ne-peut-absorber-seule-la-demographie-9396924.php
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