[France Bleu Hérault] François Vasquez, vice président chargé de la collecte et du tri à la métropole de Montpellier

[France Bleu Hérault] François Vasquez, vice président chargé de la collecte et du tri à la métropole de Montpellier

L’invité de 7h50 France Bleu Hérault – Lundi 18 janvier 2021 à 7:46

François Vasquez, Vice-Président de Montpellier Métropole

La métropole de Montpellier veut mettre la vitesse supérieure en matière de recyclage des déchets, et ceci afin de réduire au maximum le volume des poubelles de ses 31 communes. François Vasquez est le vice-président chargé de la collecte et du tri à la métropole. Il était notre invité ce lundi.

Intensification du tri, meilleure valorisation des bio-déchets, mais aussi changement de tarification, avec en particulier la mise en place d’un tarif au poids. 

François Vasquez est depuis cet été le vice-président chargé de la collecte et du tri à la métropole. 

[L’Agglorieuse] Grand entretien avec François Vasquez sur les déchets à Montpellier

[L’Agglorieuse] Grand entretien avec François Vasquez sur les déchets à Montpellier

Interview vidéo de François Vasquez, conseiller municipal à Montpellier et vice-président en charge de la Collecte, du Tri, de la Valorisation des déchets et de la Politique zéro déchet.

(Extrait)

Question: Pourquoi l’usine Amétyst voulue par les Verts est une calamité écologique?

FV : En fait à l’époque, on leur avait mis un choix: soit c’était un incinérateur, soit c’était une usine de tri mécano-biologique avec la méthanisation. La méthanisation, c’était le greenwashing industriel. A l’époque, les écologistes politiques (les Verts comme d’autres écologistes d’ailleurs), ne maîtrisaient pas ce sujet qui est très pointu. Moi, j’y suis immergé depuis mon jeune âge, comme vous l’avez précisé. L’erreur a été commise en pensant qu’on échappait à l’incinérateur pour quelque chose de plus vertueux. Or, sur le papier, je savais déjà que cette structure nous mènerait dans l’impasse. Chose qui s’est vérifiée pendant ces 15 années.

Vous avez été celui qui s’est battu contre l’usine de méthanisation au début, dans les années 2005.

FV : 3 ans avant sa construction, j’ai dit qu’il ne fallait pas la faire. J’ai même eu un débat à l’époque contre Jean-Louis Roumégas avec Midi Libre (c’était en 2006), ou j’expliquais déjà ce qui allait se passer. Les 2 rapports de la cour des comptes ont corroboré ce que j’annonçais c’est à dire un échec industriel et financier.

L’usine de méthanisation a couté 100 millions d’euros, 15 millions de frais par an… C’est impossible de rentabiliser un investissement comme ça, avec du grand n’importe quoi: les produits reçus à Amétyst, il y a 125.000 tonnes de poubelles grises et seulement 1700 tonnes de déchets triés, c’est à dire 1%. C’est catastrophique !

FV : C’est que que j’annonçais avant sa construction: je disait qu’on ne pouvait pas mettre une usine de tri en fonctionnement sans pénaliser le tri à la source. C’était une évidence, c’était antinomique. Et donc, en faisant une usine de tri, on a empêché le tri à la source de tous les flux, c’est à dire le verre mais aussi des bio-déchets. Et donc maintenant notre but, c’est de mettre ce tri à la source en premier lieu et de baisser les tonnages d’ordures de poubelles grises (mélangées) entrant à Amétyst et qui nous coutent une fortune !

(…)

Écouter / voir la suite en cliquant sur la vidéo en haut de page.

[Conseil de Métropole] 23 novembre 2020 – Affaires et interventions des élu-es écologistes

[Conseil de Métropole] 23 novembre 2020 – Affaires et interventions des élu-es écologistes

110 projets d’affaires étaient soumis au vote des conseiller-es métropolitain-es ce lundi 23 novembre.

Intervention de François Vasquez – Affaire n°16 – Présentation de l’étude préalable à la mise en oeuvre de la tarification incitative des déchets

Victor Hugo a écrit : « Qu’y a-t-il au-dessus de la justice, l’équité »
La mise en place d’une tarification incitative des déchets sera une nouvelle façon de calculer notre taxe sur les ordures ménagères. Je précise, la confusion est souvent entendue, qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle taxe, mais d’une taxe qui récompense le geste de tri, donc d’une taxe équitable. La tarification incitative n’est pas une mesure qu’on impose mais une mesure qui s’impose pour des raisons environnementales et économiques. Ce n’est pas une mesure qu’on applique mais une mesure qu’on explique en vue d’une adhésion la plus large possible. En effet, notre engagement dans la politique zéro déchet et les objectifs ambitieux que nous nous sommes fixés nous sont dictés par l’urgence climatique, la pollution de l’air, des sols et de l’eau et le renchérissement permanent et dorénavant insupportable des coûts d’élimination des déchets ultimes. Vous connaissez notre projet de généralisation du tri des bio déchets à la source, privilégiant le compostage, pour lequel nous avons répondu à l’appel à projet de l’ADEME et de la région Occitanie le 16 Octobre dernier. Vous avez été informés de l’engagement de notre deuxième programme local de prévention des déchets qui nous permettra de réduire significativement la production de ses derniers. La tarification incitative constituera un troisième levier, complémentaire et indispensable, à actionner une fois les équipements et les services mis à disposition.
Une étude permettant d’accompagner la collectivité a donc été demandée.
1• Elle permettra de proposer des grilles tarifaires, des modalités de facturation, au poids, au volume, à la levée ou un mix….et d’envisager la planification en matière d’organisation des services et des moyens techniques et humains à déployer. D’un montant de 40 000€ elle est éligible aux aides financières de l’ADEME et de la Région Occitanie.
2• Elle s’établira lors d’une large concertation avec les élus locaux et la population et arrivera ainsi en bouclage de la mise en place de notre politique. Le lancement aujourd’hui, de l’étude de la tarification incitative s’inscrit dans le cadre de la semaine Européenne de la réduction des déchets et positionnera notre Métropole en leader national sur cette grande ambition et ce large projet.


Intervention de Coralie Mantion (affaire n°31) – Urbanisation de Cambacéres

J’entends déjà la levée de bouclier contre cette délibération. Et les attaques que nous, le groupe des écologistes, allons subir.

Mais nous avons toujours été très clairs sur cette affaire: entre le dédoublement de l’A9 (qui a détruit des centaines de terres agricoles et naturelles, qui a engendré une augmentation du trafic automobile, qui n’a pas résorbé les bouchons à l’entrée de Montpellier), et la Gare Sud de France qui est un gouffre financier et inutile, le sud-ouest de Montpellier a été abîmé, détruit. Notre objectif est donc très simple sur ce projet : il est de limiter les dégâts de l’artificialisation déjà enclenchée sur ce secteur par les mandatures précédentes.

Contrairement à ce que certains pensent, nous ne nous sommes pas vendus pour quelques places, nous n’avons pas cherché à aller au plus offrant mais nous avons travaillé sur un projet commun avec le Parti Socialiste, Michael Delafosse et ses partenaires. Parce que c’est cela aussi la politique: c’est dialoguer, échanger, trouver un compromis.

Donc oui, nous avons accepté d’urbaniser environ 25 hectares entre la gare et Odysseum car ces terres étaient déjà viabilisées : terrassement, route et réseaux posés. Et que ça crée une connexion entre ces deux lieux. Mais c’est bien grâce à nous, les écologistes que ce sont pas moins de 130 hectares de terres naturelles et agricoles dans ce quartier qui seront préservées. Car il n’est pas question de continuer à détruire la ceinture verte de Montpellier qui est primordiale pour un mieux vivre dans la métropole. De plus, nous ré-affirmons ici qu’il n’y aura pas de logements dans ce quartier même si certaine déplore le manque de mixité fonctionnelle ou d’autre s’exprime dans la presse. Il n’y aura pas de logements, quels qu’ils soient, étudiants ou sociaux à Cambacérès. Car nous sommes dans la zone la plus polluée de Montpellier. Il serait donc irresponsable de loger des habitant-es dans cette zone. En dehors de la ZAC 1, nous sommes en train de travailler avec les diverses équipes pour préserver les espaces naturels et recréer un corridor écologique qui irait de la plaine de Mauguio jusqu’au Lez.

C’est cela notre projet :  une métropole qui protège ses habitant-es, qui protège ses espaces naturels et agricoles, une métropole plus verte, une métropole résiliente.


Intervention de Bruno Paternot (affaire n°47) – Ouverture dominicale des commerces de détail pour l’année 2021

Je tiens, au nom de tous-tes les écologistes de cette assemblée à vous remercier pour les mesures d’urgence que nous venons de prendre et que nous prenons à chaque Conseil Métropolitain depuis que le CODIV19 affame et force la fermeture de nos beaux commerces.

Oui, après avoir été interpellé sur le caractère potentiellement réducteur de l’expression « petit commerce », je décide de faire la distinction entre la GRANDE distribution et le BEAU commerce : celui qui est local, celui qui est de qualité, celui qui éthique et qui cherche à satisfaire tout le monde, pas à nous faire dé-penser ou con-sommer. Je parle d’Aline, ma libraire. Je parle de Damien au Locavorium à Saint-Jean-de-Védas ou Elie à la Cagette, je parle de Tonton Pizza à Jacou. Ce beau commerce dont on connaît le nom du commerçant et dont la commerçante connait nos goûts et nos envies. La ville de Montpellier en parle si bien dans le clip jesoutiensmescommercants.montpellier.fr

Nous aidons le beau commerce à la métropole (et je l’ai souligné en début de séance), en trouvant des aides légales et responsables : exonération de loyer, participation aux dispositifs régionaux, aide aux travaux ou au matériel… Innovons encore pour trouver d’autres façons de vitaliser les centres-villes du lundi au samedi. Du lundi au samedi.

L’écologie politique, c’est privilégier la vie et le collectif sur l’individu et sur la consommation. L’écologie c’est garder des temps de liberté grâce à nos droits sociaux. Et pas grâce au maire.

Les dimanches du maire ! Cette coutume, tout comme feue l’amnistie présidentielle n’est pas dans l’ADN des écologistes. Nous pensons que la loi est la même pour tous et toutes et qu’elle ne doit pas varier selon les bons vouloirs d’un ou d’une maire et créer ainsi une concurrence libre et non faussée entre les territoires. Si le maire de Lattes autorise son Carrefour à ouvrir 12 dimanches par an, pourquoi le maire de Perols n’autoriserait pas son Auchan à ouvrir aussi ? Car, lisons bien cette délibération, à qui profite-t-elle : l’électroménager-TV-Hifi, l’équipement de la personne (c’est à dire les grands magasins internationaux de prêt-à-porter chinois), l’automobile.

La métropole, si elle est innovante, sociale et écologiste, n’a pas à aider les méga complexes mais bien à aider ses beaux commerces, ceux qui sont aussi aidés par la Région qui incite à acheter « dans ma zone ».

Monsieur le Président, je vous fais une lettre car vous nous avez dit que vous donneriez le nom d’un bâtiment à la montpelliéraine Juliette Greco. Je vous propose donc, en adoptant cette délibération, de baptiser Juliette Greco un nouvel Hyper-Marché.  

Tous les jours de la semaine / sont vides et sonnent creux / Bien pire que la semaine / Y a le dimanche prétentieux / Qui veut paraitre rose et jouer les généreux/ Le dimanche qui s’impose / comme un jour bien heureux. Je hais les dimanches, je hais les dimanches. (Juliette Greco)


Intervention de Celia Serrano – Affaire n°89 – Convention de partenariat avec le cirque sans animaux Bouglione

J’ai l’honneur de présenter la convention de partenariat qui lie la Métropole à la société de production de la famille Bouglione.

Nous ne pouvons plus accepter d’animaux dans des cirques. Nous connaissons les conditions de rétention des animaux, les séances de dressage qu’ils subissent, le transport qu’induit les tournées : nous ne pouvons en aucun cas parler de bien-être animal. Nous ne pouvons plus venir nous divertir sous les yeux d’animaux, sauvages comme domestiques. Leur place n’est pas devant nous sous un chapiteau.

C’est une première sur le territoire national : nous serons la première Métropole à accueillir l’écocirque Bouglione, premier cirque traditionnel ne proposant aucun spectacle avec des animaux. Enfin si, ils seront en hologrammes.

Cet écocirque propose des numéros populaires dans la tradition du cirque à l’ancienne avec des artistes, musiciens et une fabuleuse musicienne, des funambules, trapézistes, jongleurs et contorsionnistes dans des numéros innovants. Le village de cet écocirque est constitué de conteneurs maritimes recyclés, accueillant des associations de protection animale et de protection de la biodiversité. L’écocirque s’engage également, grâce à un partenariat privé, de planter un arbre pour chaque place de spectacle achetée par le public scolaire. Conférences et ateliers sont prévus et mais soumis malheureusement aux conditions sanitaires. Toutes ces animations familiales seront évidemment gratuites.

Le cirque est installé, les artistes répètent, la création est en cours. La famille Bouglione a su se réinventer et nous propose de nous divertir autrement, dans le respect de tous les êtres vivants. Espérons maintenant que les conditions sanitaires nous permettront d’assister à ces représentations, et de pouvoir passer ainsi de beaux dimanches en famille!

[Midi Libre] François Vasquez : « La Métropole de Montpellier fait du tourisme de déchets »

[Midi Libre] François Vasquez : « La Métropole de Montpellier fait du tourisme de déchets »

Publié le 22/09/2020François Vasquez constate que "la Métropole fait du tourisme des déchets."

François Vasquez, vice-président de la Métropole délégué à la collecte et au tri.

Quelle politique de tri des déchets comptez-vous mener pour la Métropole ?

Ce sera une politique très ambitieuse, qui sera en rupture avec ce qui a été fait précédemment. Nous voulons placer la Métropole dans un horizon de zéro déchet. Soit l’exact contraire de ce qui a été fait jusqu’à présent.

En deux mots : avant, on mélangeait les déchets malgré quelques consignes de tri pour les bacs jaunes et un petit peu pour le verre, avec un volume de poubelles grises considérable, soit 130 000 tonnes pour la Métropole. Et je ne veux pas me défausser de la propreté des points d’apport volontaire et des poubelles, car j’ai toujours dit, avant d’avoir ce mandat, que la base de la propreté des voiries était le tri des déchets.

Cela implique une attention aux points de collectes ?

Tout à fait, car je ne pense pas qu’on puisse avoir une ville propre si des points d’apport débordent, si des gens déposent des choses à côté et si vous avez des poubelles mal collectées, mal triées et qui débordent.

Mettrez-vous l’accent sur les conteneurs enterrés ?

Ils ne sont pas la panacée. Ils posent beaucoup de problèmes. C’est un sujet dans le sujet. Mais la véritable problématique concerne la politique de tri. Nous allons, notamment, travailler sur la responsabilisation de chacun, y compris les commerçants et les zones d’activité économique. Personne ne sera en dehors de la règle commune… ce qui était le cas sous les précédents mandats.

Que prévoyez-vous de faire désormais ?

Nous allons installer le tri à la source des biodéchets. Cela est vraiment fondamental. Sans oublier la création d’une redevance incitative qui fera payer chacun en fonction de ce qu’il jette dans la poubelle grise.

Lire la suite de l’article sur https://www.midilibre.fr/2020/09/22/francois-vasquez-la-metropole-de-montpellier-fait-du-tourisme-de-dechets-9087165.php

Des élu.e.s écologistes à la Ville et à la Métropole

Des élu.e.s écologistes à la Ville et à la Métropole

Le 28 juin 2020, 12 candidates et candidat.es issu.es de la liste Choisir l’écologie pour Montpellier ont été élu.es à la mairie de Montpellier .

Les élu.es issues de la liste Choisir l'écologie pour Montpellier
De gauche à droite: Célia Serrano, Stéphane Jouault, Fatma Nakib, Marie Massart, Catherine Ribot, François Vasquez, Manu Reynaud, Coralie Mantion, Bruno Paternot, Radia Tikouk, Eddine Ariztegui et Mustapha Laoukiri (4 juillet 2020).

Les délégations de nos élu.es

Élu-eVilleMétropole
Coralie
MANTION
Conseillère
déléguée à la Participation citoyenne numérique
2ème Vice-présidente,
déléguée à l’Aménagement durable du territoire, l’urbanisme et la maîtrise foncière
Manu
REYNAUD


2éme adjoint,
délégué à la ville apaisée et respirable:
– Élaboration d’un nouveau plan de circulation
– Conduite d’une nouvelle politique de stationnement sur voirie
– Mise en œuvre du SDMA à la Ville
– Projet de « Ville 30 km/h »
Conseiller
François
VASQUEZ
Conseiller
délégué à l’Agriparc du Mas Nouguier

5ème Vice-président,
délégué à la Collecte, le tri, la valorisation des déchets et la politique zéro déchet
Marie
MASSART

11ème adjointe,
déléguée à la Politique alimentaire, et à l’agriculture urbaine:
Politique alimentaire
– Restauration scolaire de proximité
– Agriculture urbaine : jardins partagés, jardins familiaux.
– Bio-alimentation
Conseillère
Stéphane
JOUAULT

12ème adjoint,
délégué à la Nature en ville, biodiversité:
Développement durable
– Entretien des espaces verts
– Création de nouveaux espaces verts
– Opération 50 000 arbres
– Coulées vertes du Verdanson et de l’Aqueduc Saint-Clément
– Végétalisation des quartiers
– Préservation de la biodiversité urbaine
Mustapha
LAOUKIRI

16ème adjoint,
délégué à l’Emploi et à la création d’entreprises:
– Expérimentation « Territoire Zéro Chômeur »
– Volet social du projet ANRU : formation, création d’entreprises…
– Politique de la Ville- Expérimentation « Territoire Zéro Chômeur »
– Volet social du projet ANRU : formation, création d’entreprises…
– Politique de la Ville
Fatma
NAKIB

17ème adjointe,
déléguée à l’Egalité et aux droits des femmes:
– Lutte contre les discriminations
– Défense des valeurs de la République
– Egalité femmes/hommes et droits des femmes
– Lutte contre les violences faites aux femmes
Radia TIKOUK
23ème adjointe,
déléguée au Quartier Cévennes et à la Relation aux Usagers:
– Vie quotidienne
– Etat civil
– Recensement
– Commémorations
– Prest’O
– Elections
– Accueil, standard et certification Qualivilles
– Administration des cimetières
Conseillère
Eddine ARIZTEGUI
24ème adjoint,
délégué au Bien-être animal: 
– Politique de l’animal en Ville : bien-être animal, politique de régulation et de contrôle sanitaire
 – Parc zoologique
– Hôpital de la faune sauvage locale
Bruno PATERNOT
Conseiller délégué
à l’Esthétique lumineuse et à l’ambiance sonore de la ville
Conseiller délégué à la Qualité de l’environnement visuel, et au RLPI
Catherine RIBOT
Conseillère déléguée
aux Marchés publics et à la commande publique éco-responsable
Conseillère
Célia SERRANO
Conseillère déléguée
à l’Enseignement artistique et culturel
Conseillère déléguée à la Sensibilisation à la réduction des déchets et au Bien-être animal